En France, on parle aisément de gratuité de l’avocat, du médiateur, formules exécrables et dévoyées car tout a un coût même si certes, ce ne sont pas toujours les utilisateurs directs qui financent ce coût mais la collectivité. En voici un exemple repris par la Voix du Nord édition Dunkerque en intégral ici: <>. Donc au minimum, cela veut dire qu’en matière de médiation, il y a 97 cas ouverts dont la totalité a coûté 20 000 euros rien que pour le poste de la directrice sans que pour autant, ils aient mené à un processus de médiation soit 206.18 euros par tentative de médiation dont apparemment la majeure partie ne poursuit pas la médiation proposée. Ce n’est pas une critique mais un constat. Alors, ce n’est pas rien et ce n’est pas la médiation subventionnée qui coûte le moins cher. Bien sûr, la médiation ne se force pas, il s’agit d’un processus volontaire qui suppose une information préalable qui pourrait être généralisée et homogenéisée pour éviter des frais de promotion individuels qui coûtent évidemment chers. Enfin, le tribunal n’a pas besoin d’une association extérieure en théorie pour savoir ce qu’est une médiation. Il faut un référencement des médiateurs à l’instar de celui des experts qui facilitera la transparence et le choix des parties pour ceux-ci qui doit rester un droit absolu.