<>Extraits du communiqué de presse du 7 avril 2009 à lire intégralement ici Il me semblait qu’une juridiction se devait de rester impartiale. On ne peut qu’être surpris sans que cela ne remette en cause l’expérience de l’organisme « élu » par la Cour d’appel de Paris. Cela lui donne un label particulier à l’instar des étiquettes du style « fournisseur de la reine » vis à vis de tous les spécialistes des droits de l’internet qui est assez choquant et pour le moins déloyal.