ALGERIE:<> <<...Dans ce même contexte, notre interlocuteur aura beau chercher la possibilité de voir les conflits du contentieux réglés par la conciliation ou la médiation, mais sans y parvenir. «Ça ne fonctionne pas chez nous», affirme le président de la Laddh. A se fier à ses propos, hormis «la jemâa (ou, thajmaath)- terme qu'il convient de traduire par "assemblée" ou "conseil" plutôt que "comité" - cette médiation recherchée ne peut absolument pas exister». Interrogé, un autre avocat exerçant à la Cour suprême retient également des arguments opposés à ceux du ministre, Tayeb Belaïz. Cette réforme dudit code lui reste en travers de la gorge, comme une pilule dure à avaler. «Cela tient de notre culture, voire inculture, juridique». «Cette instabilité juridique inquiète à plus d'un titre», résume cet avocat qui s'exprimait sous l'anonymat....>> Lire l’article intégral sur l’expressiondz